Frontière
de France (Suisse), 9 octobre 1870
Français !
Vous êtes de nouveau maîtres de vos destinées.
Pour la quatrième fois en moins d’un demi-siècle, vos
institutions politiques se sont écroulées, et nous sommes
livrés aux plus douloureuses épreuves.
La France doit-elle voir le terme de ces agitations stériles,
source de tant de malheurs ? C’est à vous de répondre.
Durant les longues années d’un exil immérité, je
n’ai pas permis un seul jour que mon nom fût une cause de
division et de trouble, mais aujourd’hui qu’il peut être un gage
de conciliation et de sécurité, je n’hésita pas
à dire à mon pays que je suis prêt à me
dévouer tout entier à son bonheur.
Oui, la France se relèvera si, éclairée par les
leçons de l’expérience, elle consent à rentrer
dans les voies que la Providence lui a tracées.
Chef de la Maison de Bourbon qui, avec l’aide de Dieu et de vos
pères, a constitué la France dans sa puissante
unité, je devais ressentir plus profondément que tout
autre l’étendue de nos désastres, et, mieux qu’à
tout autre, il m’appartient de les réparer.
Que le deuil de le patrie soit le signal du réveil et des nobles
élans. L’étranger sera repoussé,
l’intégrité de notre territoire assuré, si nous
savons mettre en commun tous nos efforts, tous nos dévouement et
tous nos sacrifices.
Ne l’oubliez pas ; c’est par le retour à ses traditions de foi
et d’honneur, que la grande nation un moment affaiblie recouvrera sa
puissance et sa gloire.
Je vous le disais naguère : gouverner ne consiste pas à
flatter les passions des peuples, mais à s’appuyer sur leurs
vertus.
Ne vous laissez pas entraîner par de fatales illusions. Les
institutions républicaines, qui peuvent correspondre aux
aspirations de sociétés nouvelles, ne prendront jamais
racine sur notre vieux sol monarchique.
Pénétré des besoins de mon temps, toute mon
ambition est de fonder avec vous un gouvernement vraiment national,
ayant le droit pour base, l’honnêteté pour moyen, la
grandeur morale pour but.
Effaçons jusqu’au souvenir de nos dissensions passées, si
funestes au développement du véritable progrès et
de la vraie liberté.
Français, qu’un seul cri s’échappe de notre cœur :
Tout pour la France, par la France, et avec la France.
En 1871, l'Assemblée Nationale
à 80% Royaliste était disposée à appeler
Henri V comme Roi de France, mais a exigé qu'il arbore le
drapeau bleu-blanc-rouge, décrété par
l'Assemblée Constituante de 1789-1791. Hélas, Henri V a
refusé car il entendait rester fidèle au drapeau blanc
d'Henri IV et de Charles X. Ainsi, la Royauté n'a pu être
rétablie par la faute de cette lutte symbolique sur la couleur
du drapeau Français, et les Français payent cher
aujourd'hui cette querelle, puisque la ripoux-blique maçonnique,
judaique, rotschildienne et anti-Française s'est
installée durablement et continue ses ravages de plus belle sur
la France!.
AH, QUE LES DEPUTES N'AIENT PAS CONSENTI A HENRI V LE DRAPEAU BLANC
D'HENRI IV COMME DRAPEAU ROYAL ET MAINTENU LE DRAPEAU BLEU-BLANC-ROUGE
DE L'ASSEMBLEE CONSTITUANTE DE 1789-1791 COMME DRAPEAU NATIONAL!.
Il eût, bien sûr, aussi fallu que l'Assemblée de
1871 proclame le retour à la Constitution du 3/9/1791, et
rappelé au Roi de France Henri V que son ancêtre le Roi
Louis XVI l'a lui-même proclamée, suite à son
adoption par la Nation unanime, abandonnant définitivement le
modèle de la Monarchie absolue et préférant la
Monarchie Constitutionnelle, qui sépare les pouvoirs
exécutifs, législatifs et judiciaires.
Henri V entendait régner, s'il avait été
désigné par l'Assemblée nationale,
conformément à une Charte qu'il aurait octroyée
sur le modèle de la Charte octroyée par son grand-oncle,
le Roi
Louis XVIII, sous laquelle a aussi régné son
grand-père, le Roi Charles X, et qui a été
remplacée par une Charte identique régissant le
règne du Roi Louis-Philippe 1er, entre 1830 et 1848, suite
à l'abdication forcée de Charles X
nécessitée par la violente résistance populaire
à ses ordonnances liberticides et autocratiques interdisant les
libertés de réunion et d'expression, habilement
suscitée par la Mafia Maçonnique aux ordres de Rotschild
pour défaire ce Roi, comme elle défera aussi son
successeur Louis-Philippe 1er en 1848, imposant illégalement la
prétendue "2ème république" qui a vite
dégénéré en dictature autocratique de
l'imposteur Louis-Napoleon Buonaparte.
Voici, pour son intérêt historique, la lettre d'Henri V
refusant le Trône de France sans le Drapeau Blanc de Charles X et
Henri IV.
Chambord, 5 juillet 1871
Français !
Je suis au milieu de vous.
Vous m’avez rouvert les portes de la France, et je n’ai pu me refuser
le bonheur de revoir ma patrie.
Mais je ne veux pas donner, par ma présence prolongée, de
nouveaux prétextes à l’agitation des esprits si
troublés en ce moment.
Je quitte donc ce Chambord que vous m’avez donné et dont j’ai
porté le nom avec fierté, depuis quarante ans, sur les
chemins de l’exil.
En m’éloignant, je tient à vous le dire, je ne me
sépare pas de vous ; la France sait que je lui appartient.
Je ne puis oublier que le droit monarchique est le patrimoine de la
nation, ni décliner les devoirs qu’il m’impose envers elle.
Ces devoirs, je les remplirai ; croyez-en ma parole d’honnête
homme et de roi.
Dieu aidant, nous fonderons ensemble, et quand vous le voudrez, sur les
larges assises de la décentralisation administrative et des
franchises locales, un gouvernement conforme aux besoins réels
du pays.
Nous donnerons pour garantie à ces libertés publiques
auxquelles tout peuple chrétien a besoin, le suffrage universel
honnêtement pratiqué et le contrôle des deux
Chambres, et nous reprendrons, en lui restituant son caractère
véritable, le mouvement national de la fin du dernier
siècle.
Une minorité révolté contre les vœux du pays, en a
fait le point de départ d’une période de
démoralisation par le mensonge et de désorganisation par
la violence. Ses criminels attentats ont imposé la
révolution à une nation qui ne demandait que des
réformes, et l’ont, dès lors, poussée vers
l’abîme où hier elle eût péri sans
l’héroïque effort de notre armée.
Ce sont les classes laborieuses, ces ouvriers des champs et des villes
dont le sort a fait l’objet de mes plus chères études,
qui ont le plus souffert de ce désordre social.
Mais la France, cruellement désabusée par des
désastres sans exemple, comprendra qu’on ne revient pas à
la vérité en changeant d’erreur, qu’on n’échappe
pas par des expédients à des nécessités
éternelles.
Elle m ’appellera, et je viendrai à elle tout entier, avec mon
dévouement, mon principe et mon drapeau.
A l’occasion de ce drapeau, on a parlé de conditions que je ne
dois pas subir.
Français !
Je suis prêt à tout pour aider mon pays à se
relever de ses ruines et à reprendre son rang dans la monde ; le
seul sacrifice que je ne peux lui faire, c’est celui de mon honneur.
Je suis et veux être de mon temps ; je rends un sincère
hommage à toutes ses grandeurs, et, quelle que fût la
couleur du drapeau sous lequel marchait nos soldats, j’ai admiré
leur héroïsme et rendu grâces à Dieu de tout
ce que leur bravoure ajoutait au trésor des gloires de la France.
Entre vous et moi, il ne doit subsister ni malentendu ni
arrière-pensée.
Non, je ne laisserai pas, parce que l’ignorance et la
crédulité auront parlé de privilèges,
d’absolutisme et d’intolérance, que sais-je encore? De
dîme, de droits féodaux, fantômes que la plus
audacieuse mauvaise foi essaye de ressusciter à vos yeux, je ne
laisserai pas arracher de mes mains l’étendard d’Henri IV, de
François Ier et de Jeanne d’Arc.
C’est avec lui que s’est faite l’unité nationale ; c’est avec
lui que vos pères, conduits par les miens, ont conquis cette
Alsace et cette Lorraine dont la fidélité sera la
consolation de nos malheurs.
Il a vaincu la barbarie sur cette terre d’Afrique témoin des
premiers faits d’armes des princes de ma famille ; c’est lui qui
vaincra la barbarie nouvelle dont le monde est menacé.
Je le confierai sans crainte à la vaillance de notre
armée ; il n’a jamais suivi, elle le sait, que le chemin de
l’honneur.
Je l’ai reçu comme un dépôt sacré du vieux
roi, mon aïeul, mourant en exil ; il a toujours été
pour moi inséparable du souvenir de la patrie absente ; il a
flotté sur mon berceau, je veux qu’il ombrage ma tombe.
Dans les plis glorieux de cet étendard sans tache, je vous
apporterai l’ordre et la liberté.
Français,
Henri V ne peut abandonner le drapeau blanc d’Henri IV,
Henri.
En 1874, les graves dissensions entre la
branche régnante des Bourbons, représentée par
Henri V, et la branche cadette des Orléans, issue du dernier Roi
de France, Louis-Philippe 1er, suite à la chute du Roi de France
Charles X et à la montée immédiate sur le
Trône de France de Louis-Philippe d'Orléans, qui
n'était que le Régent et Lieutenant-Général
du Royaume, nommé par Charles X lui-même dans l'espoir
qu'il ferait proclamer par l'Assemblée son abdication au profit
de son fils Louis XIX ou de son petit-fils Henri V, venaient de
s'éteindre par la réconciliation dynastique.
Henri V s'était réconcilié, en effet, avec ses
cousins et désigné lui-même Philippe, Duc
d'Orléans, comme son successeur au Trône de France, comme
futur Philippe VII. ( La thèse de certains Royalistes actuels
que les Bourbons d'Espagne seraient les seuls successeurs du Roi de
jure Henri V est non seulement contraire à la
vérité, mais aussi absurde puisque les LOIS
CONSTITUTIONNELLES DE L'ETAT MONARCHIQUE DE FRANCE, soit les lettres
patentes de 1713 du Roi de France Louis XIV et les divers
décrets de ses successeurs, sans interruption, y compris ceux de
Charles X lui-même, fixaient l'ordre de succession au Trône
de France comme désignant la branche d'Orléans en cas
d'extinction de la branche issue de Henri V, ce qui fût
effectivement le cas par la suite, dès 1883, à la mort du
Roi de France de jure Henri V).
A ce jour, il est incontestable qu'en vrai Droit Monarchique du Royaume
de France, le Roi de jure est bien Henri VII, duc d'Orléans, et
non pas Luis-Alfonso de Borbon, petit-fils du Roi d'Espagne Alphone
XIII et neveu du Roi d'Espagne actuel, SM Juan Carlos 1er.
Un courant qui s'intitule ABUSIVEMENT "légitimiste",
médiatisé par le Duc de Beauffrémont, ( Pair de
France par acte de Louis XVI et Duc du Saint-Empire Germanique), a
échafaudé
des élucubrations totalement improbables, cautionnées par
un piètre juriste, pourtant professeur de droit, nommé
Franck Bouscau, reprenant une thèse de droit totalement
erronée soutenue en 1914 par un prince de Bourbon, et qui a
inventé de bric et de broc de prétendus "lois
constitutionnelles" totalement fictives, dont on ne trouve aucune trace
dans la législation monarchiste sous aucun Roi de France, pour
prétendre que le Roi de France de jure à ce jour serait
"Louis XX", en la personne de Luis-Alfonso de Borbon!.
Et bizarrement, ces "légitimistes" de pacotille, qui ne sont pas
à une contradiction ni à une grossière erreur
près, n'expliquent pas pourquoi ce Luis-Alfonso de Borbon ne
serait pas, pour commencer, roi d'Espagne, puisqu'il serait prioritaire
sur tous les Princes de la Maison de Bourbon, qui comprend aussi bien
les Bourbons de France que ceux d'Espagne ou d'Italie!. Aussi, selon
eux, Luis-Alfonso devrait être Roi de jure à la fois de
France et d'Espagne, et Juan Carlos serait donc aussi un "imposteur",
selon eux!.
En effet, la "loi salique" de dévolution de la Couronne à
l'ainé mâle proximal est en vigueur aussi bien dans la
Monarchie Française que celle d'Espagne.
Si donc Luis-Alfonso est bien l'ainé généalogique
des Bourbons de France, d'Espagne et d'Italie, il n'est pas pour autant
Roi d'Espagne de jure, ni Roi de France de jure ni Roi de Parme ou des
deux-Siciles de jure, car les lois constitutionnelles de ces Royaumes
sont différentes, et ne se réduisent pas uniquement
à la "loi salique", comme aiment hypocritement et
erronément à le soutenir et en discourir en vain les
partisans et mauvais
juristes de Luis-Alfonso.
Pour éclairicir ces points, nous ne développerons pas
ici le Droit Monarchique de ces royaumes.
Nous indiquerons seulement brièvement qu'en ce qui concerne
l'Espagne, sont aussi applicables les Pragmatiques Sanctions du Roi
Alphonse XII qui rendent non dynastes les princes de la dynastie des
Bourbons d'Espagne non issus de mariages réguliers,
sanctionnés par l'approbation du Roi, et dits aussi "mariages
morganatiques". Pour cette raison, ni Luis-Alfonso, ni son père
Don Alfonso, fils ainé de Don Jaime, fils ainé du Roi
d'Espagne Alphonse XIII, qui a abdiqué de facto en 1931 face au
putsch "républicain", n'étaient dynastes dans la
Monarchie Espagnole. C'est pour cette raison que lorsque le
général Franco, qui chassa les bolcheviques
ripoux-blicains Espagnols par les armes et s'institua lui-même
Dictateur sur l'Espagne, remit sur le trône d'Espagne Don Juan
Carlos, fils ainé de Don Juan, 4ème fils du Roi d'Espagne
Alphonse XIII, en application des actes royaux
décrétés par ce dernier Roi lui-même.
Lorsque sentant sa fin prochaine, Franco prit des mesures afin de
rétablir la monarchie des Bourbons issue de Philippe V,
petit-fils du Roi de France Louis XIV sur le trône d'Espagne, il
fit monter sur le Trône d'Espagne l'actuel Roi, SM Juan Carlos
1er.
Ainsi, Luis-Alfonso n'est pas éligible au Trône d'Espagne,
bien qu'il soit un Bourbon et ainé généalogique en
Espagne, elle aussi régie par la "loi salique" depuis Philippe
V, tout comme la royauté Française!.
Eh bien, ce que ces prétendus "légitimistes" du Royalisme
Français ne peuvent pas comprendre, c'est qu'en France aussi, il
existe des lois Monarchiques qui s'appliquent en même temps que
la "loi salique", et qui rendent non seulement Luis-Alfonso de Borbon,
mais n'importe quel autre Bourbon d'Espagne ou d'Italie, simplement NON
DYNASTES EN FRANCE!.
Cette législation du Droit Monarchique Français
émane du Roi de France Louis XIV, enregistrée au
Parlement de Paris en 1713, et donc non abrogée à ce
jour, et de ce fait, PARFAITEMENT EXECUTOIRE AUJOURD'HUI COMME ACTE
ROYAL REGULIEREMENT PROMULGUE PAR UN ROI DE FRANCE, ET DONC EN VIGUEUR
COMME LOI DE L'ETAT FRANCAIS!.
POINT FINAL ET DEFINTIF DONC, QUI TRANCHE CETTE CONTROVERSE SORDIDE ET
IDIOTE DANS LES RANGS ROYALISTES ACTUELS, QUI SE CREENT UN MOTIF DE
DISCORDE DONT ILS N'ONT NUL BESOIN!.
LES ELUCUBRATIONS DU PROFESSEUR DE DROIT F.BOUSCAU, REPERCUTEES SUR LES
SITES INTERNET DES PARTISANS DU PRETENDU "LOUIS XX", SONT
DONC
DES
INEPTIES RIDICULES!.
LE SIEUR LUIS-ALFONSO DE BORBON N'A DONC
AUCUN DROIT D'ARBORER COMME IL LE FAIT LE NOM DE REGNE "LOUIS XX", NI
LE TITRE DE DUC D'ANJOU QUE SON PERE DON
ALFONSO LUI AURAIT ACCORDE, ALORS QU'IL NE
POUVAIT LUI ACCORDER AUCUN TITRE DU ROYAUME DE FRANCE, NI MEME
D'ESPAGNE!.
Le titre de duc d'Anjou fût porté successivement par
Philippe d'Orléans, 2ème fils du Roi Louis XIV,
ancêtre des Ducs d'Orléans, puis par Philippe de France,
petit-fils de Louis XIV devenu Philippe V d'Espagne, ensuite par le
futur Louis XV et en dernier lieu, par le futur Louis XVIII. Ce titre
est donc revenu à la Maison des Bourbons après
l'accession de Philippe au trône d'Espagne, puis à la
Maison d'Orléans, devenue depuis 1883 Maison Royale de France,
et donc seul Henri d'Orléans, de jure Henri VII, peut l'accorder
aujourd'hui. Ainsi, le titre de Duc d'Anjou, porté par SAR
Charles-Philippe d'Orléans, titularisé par Henri VII, est
SEUL REGULIER, n'en déplaise aux partisans du prétendu
"prétendant" Luis-Alfonso de Borbon, hélas totalement
dupés et tragiquement induits dans l'erreur absolue par
l'ignorance crasse des responsables de l'IMB et le grossier
pédantisme de leur "juriste" de pacotille, le professeur de
droit F.Bouscau!.
Hélas, ces divagations ridicules d'ignares obtus portent
néanmoins un tort
considérable aux Monarchistes Français, puisqu'elles les
discréditent en les faisant passer aux yeux de la Presse
Ripoux-Blicaine, spécialisée dans la
désinformation et la duperie des masses au service de la Mafia
Maçonnique Ripoux-blicaine et si prompte à
dénigrer les Royalistes Français, les faisant passer pour
des farfelus incapables de s'entendre sur
l'identité de leur Roi, et qui se ridiculiseraient donc en
ne sachant pas qui "choisir" entre Henri d'Orleans, Chef de la Maison
d'Orléans, et le prétendu "Chef" de la Maison de Bourbon
que serait Luis-Alfonso!!!.
Pourtant, et n'en déplaise aux acharnés partisans du
prétendu "mouvement légitimiste" qui n'en est pas du
tout, ( car le véritable Légitimisme historique, apparu
à la chute de Charles X en 1830 et dont Chateaubriand fût
le chef de file, a perdu sa raison d'être lorsque Philippe
d'Orléans a légitimement succédé comme de
jure Philippe VII
à Henri V en 1883!), ainsi qu'aux
journalistes et écrivains ignares du droit monarchique
Français et qui cherchent le sensationnel ou la
médiatisation, la personne du Roi de France de jure à ce
jour est pourtant CLAIREMENT DESIGNEE:
IL S'AGIT UNIQUEMENT DE MGR HENRI D'ORLEANS, COMTE DE PARIS, DUC DE
FRANCE, CHEF DE LA MAISON D'ORLEANS, ET DONC CHEF DE LA MAISON
CAPETIENNE, SOIT LA MAISON ROYALE DE FRANCE, DEPUIS 1883, DATE DE LA
MORT DU ROI HENRI V, DERNIER REPRESENTANT DYNASTIQUE DE LA BRANCHE
ISSUE DU ROI LOUIS XIV, INDISCUTABLEMENT AUJOURD'HUI ROI DE FRANCE DE
JURE, SOUS LE NOM DE REGNE DE: HENRI VII.
HCCDA PROCLAME CLAIREMENT ET
SANS EQUIVOQUE QUE SEUL HENRI D'ORLEANS, COMTE DE PARIS, EST
LEGITIMEMENT ET LEGALEMENT ROI DE FRANCE DE JURE, EN VRAI DROIT
MONARCHIQUE DE FRANCE!
Siagnlons encore, pour parfaire l'instruction juridique en Droit
Constitutionnel Monarchique Français de Mr F.Bouscau, l'ignare
universitaire qui se pare du titre de professeur "républicain"
de droit, et qui se permet de faire des gorges chaudes dans ses
pamphlets sur les actes dynastiques de SM Henri VII, Roi de France de
jure, notamment à l'occasion de la titularisation de SAR Charles
Philippe d'Orléans au duché-apanage d'Anjou, que la Cour
du Roi de France Charles X en 1830, ainsi que le Roi de France de jure
Henri V lui-même, n'ignoraient pas qu'à l'époque du
Roi Charles X, Louis-Philippe d'Orléans, Duc d'Orléans,
était le successeur désigné du Roi Henri V, avant
qu'il ne soit lui-même proclamé Roi des Français
par la Chambre des députés suite au départ
forcé du Roi régnant Charles X, à son abdication
forcée au Chateau de Rambuteau après sa fuite du Chateau
de Saint-Cloud et à celle du Dauphin et futur Louis XIX, ainsi
que celle du Duc de Bordeaux et futur Henri V.
Pour preuves innombrables, l'Almanach de la Cour de France sous Charles
X en 1830 publiant la Liste Officielle par ordre de Succession à
la Couronne de France, et TOUS LES ECRITS OFFICIELS DES MINISTRES,
DEPUTES ET PAIRS DE FRANCE SOUS CHARLES X en attestent, sans l'ombre du
moindre doute.
Pour mémoire, le vicomte François-René de
Chateaubriand, ministre de Charles X et Pair de France, figure de proue
du Légitimisme historique tel qu'opposé à
l'Orléanisme porté par la Monarchie du Roi Louis-Philippe
1er, écrivait ceci:
" Louis-Philippe est roi; il porte le sceptre de l'enfant dont il est
l'héritier immédiat, de ce pupille que Charles X avait
remis entre les mains du lieutenant-général du royaume,
comme à un tuteur expérimenté, un
dépositaire fidèle, un protecteur généreux."
( In De la restauration et de la monarchie élective, Paris, Le
Normant éditeur, 24 mars 1831 , page 121).
Chateaubriand est bien meilleure autorité légitimiste que
ce prétentieux juriste qui se fourvoie dans les chicaneries
partisanes d'un mouvement royaliste totalement emporté par
l'erreur totale sur le véritable Droit Monarchique de la
Couronne de France.
Mais il est sûr que F.Bouscau ne reconnaitra pas son erreur
gravissime et flagrante s'il lit ces lignes car il a, en partage avec
d'autres royalistes qui confondent Catholicisme et Droit du Royaume de
France, tels les partisans regroupés sous le Duc de
Beauffrémont au sein de l'IMB, la conception d'une Monarchie de
droit divin, dictée par l'Eglise Catholique, qu'il voudrait
cependant légitimer en galvaudant le droit royaliste authentique
à l'aide de mauvaises lectures d'autres juristes partisans, dont
celle de la thèse à la Sorbonne soutenue en 1914 par le
Prince Sixte de Bourbon-Parme, cependant totalement dans l'erreur
nonobstant sa qualité de thèse de droit soutenue à
la Sorbonne!.
( Preuve donc que la faculté de Droit de la Sorbonne n'est pas
riogoureuse dans la validation de ses thèses, ce qu'on savait
déja aussi par les énormes erreurs de raisonnement qui
jalonnent les jugements et arrêts de la "magistrature"
ripoux-blicaine du Palais de "justice" maçonnique de Paris, qui
devraient pousser au suicide maints présidents de chambre de la
"cour" de cassation s'ils avaient un tant soit peu le sens de
l'honneur! Heureusement, ils en sont totalement dépourvus, sans
quoi, nous aurions bien des morts sur la conscience!).
Même les imbéciles satrapes de la Ripoux-blique se
trompent lorsque, dans les cérémonies dans lesquelles ils
sont obligés à en référer aux Rois de
France, ils ont besoin de les faire figurer côte à
côte avec les VILS IMPOSTEURS CRAPULEUX ET MACONNIQUES DE LA
RIPOUX-BLIQUE JUDAIQUE DE FRANCE, et pour cela, ils invitent
officiellement les Princes de la Maison d'Orléans, devenue
depuis la mort du Roi Henri V en 1883 LA SEULE MAISON ROYALE DE
FRANCE, tels le Comte de Paris ou le Dauphin, Jean, Duc de
Vendôme, au côté du sieur Luis-Alfonso, certes un
des descendants du Roi Louis XIV, mais qui n'est ni un Prince de la
Maison Royale de France ni même de la Maison Royale d'Espagne!.
Revenons à présent au projet du Roi Henri V en 1874:
contrairement à ce que croient certains Royalistes actuels, il
n'entendait pas restaurer la Monarchie de droit divin, mais bien
gouverner selon la Charte de Charles X.
ECOUTONS HENRI V NOUS LE DIRE LUI-MEME ET EXPOSER ADMIRABLEMENT
SES INSTRUCTIVES POSITIONS POLITIQUES, QUI EUSSENT SUREMENT FAIT DE
LUI, SI SEULEMENT IL AVAIT PU REGNER SUR LA FRANCE, L'UN DES PLUS SAGES
MONARQUES DE LA LONGUE ET RICHE HISTOIRE DE LA ROYAUTE DE FRANCE!.
2 juillet 1874
Français.
Vous avez demandé le salut de notre patrie à des
solutions temporaires, et vous semblez à la veille de vous jeter
dans de nouveaux hasards.
Chacune des révolutions survenues depuis quatre-vingts ans a
été une démonstration éclatante du
tempérament monarchique du pays.
La France a besoin de la royauté. Ma naissance m’a fait votre
roi.
Je manquerai au plus sacré de mes devoirs, si, à ce
moment solennel, je ne tentais un suprème effort pour renverser
la barrière des préjugés qui me sépare
encore de vous.
Je connais toutes les accusations portées contre ma politique,
contre mon attitude, mes paroles et mes actes.
Il n’est pas jusqu’à mon silence qui ne serve de prétexte
à d’incessantes récriminations. Si je l’ai gardé
depuis de long mois, c’est que je n’ai pas voulu rendre plus difficile
la mission de l’illustre soldat sont l’épée vous
protège.
Mais aujourd’hui, en présence de tant d’erreurs
accumulées, de tant de mensonges répandus, de tant
d’honnêtes gens trompés, le silence n’est plus permis.
L’honneur m’impose une énergique protestation.
En déclarant, au mois d’octobre dernier, que j’étais
prêt à renouer avec vous la chaîne de nos
destinées, à relever l’édifice
ébranlé de notre grandeur nationale, avec le concours de
tous les dévouements sincères, sans distinction de rang,
d’origine ou de parti ;
En affirmant que je ne rétractais rien des déclarations
sans cesse renouvelées, depuis trente ans, dans les documents
officiels et privés qui sont dans toutes les mains ;
Je comptais sur l’intelligence proverbiale de notre race et sur la
clarté de notre langue.
On a feint de comprendre que je plaçais le pouvoir royal
au-dessus des lois, et que je rêvais je ne sais quelle
combinaisons gouvernementales basées sur l’arbitraire et
l’absolu.
Non, la monarchie chrétienne et française est, dans son
essence même, une monarchie tempérée qui n’a rien
à emprunter à ces gouvernements d’aventure qui promettent
l’âge d’or et qui conduisent aux abîmes.
Cette monarchie tempérée comporte l’existence de deux
Chambres, dont l’une est nommée par le Souverain, dans ses
catégories déterminées, et l’autre par la nation,
selon le mode de suffrage réglé par la loi.
Où trouver ici la place de l’arbitraire ?
Le jour où, vous et moi, nous pourrons face à face
traiter des intérêts de la France, vous apprendrez comment
l’union du peuple et du roi a permis à la monarchie
française de déjouer, pendant tant de siècles, les
calculs de ceux qui ne luttent contre le roi que pour dominer le peuple.
Il n’est pas vrai de dire que ma politique soit en désaccord
avec les aspirations du pays.
Je veux un pouvoir réparateur et fort ; la France ne le veut pas
moins que moi. Son intérêt l’y porte ; son instinct le
réclame.
On recherche des alliances sérieuses et durables ; tout le monde
comprend que la monarchie traditionnelle, seule, peut les donner.
Je veux trouver dans les représentants de la nation des
auxiliaires vigilants pour l’examen des questions soumises à
leur contrôle, mais je ne veux pas de ces luttes stériles
de parlement d’où le souverain sort, trop souvent, impuissant et
affaibli ; et, si je repousse la formule d’importation
étrangère que répudient toutes nos traditions
nationales, avec son roi qui règne et qui ne gouverne pas,
là encore je me sens en communauté parfaite avec les
désirs de l’immense majorité, qui ne comprend rien
à ces fictions, qui est fatiguée de ces mensonges.
Français.
Je suis prêt aujourd’hui comme je l’étais hier.
La Maison de France est sincèrement, loyalement
réconciliée. Ralliez-vous, confiants, derrière
elle.
Trêve à nos divisions, pour ne songer qu’aux maux de la
patrie. N’a-t-elle pas assez souffert ? N’est-il pas tant de lui
rendre, avec sa royauté séculaire, la
prospérité, la sécurité, la dignité,
la grandeur, et tout ce cortège de libertés
fécondes que vous n’obtiendrez jamais sans elle ?
L’œuvre est laborieuse,mais, Dieu aidant, nous pouvons l’accomplir.
Que chacun, dans sas conscience, pèse les responsabilités
du présent et songe aux sévérités de
l’histoire.
Henri.
Les
Français n'ont pas écouté la voix de leur Roi
de jure Henri V en 1874 et leurs descendants actuels paient très
cher
leurs errements.
Nous pouvons constater aujourd'hui le résultat oû a
mené la France l'impasse "républicaine: accroissement des
injustices, de l'oppression sociale et politique d'un Etat sans
principes ni morale que celle du profit d'une caste ultra-minoritaire
au détriment de la masse, déliquescence et licence
publiques tous azimuths, despotisme, criminalité publique sans
freins, absence absolue d'entraves à la tyrannie et à
l'arbitraire des agents de l'Etat, hommes politiques ou même
très simples fonctionnaires aux plus bas de l'échelle
hiérarchique, telles sont les caractéristiques de
l'anarchie résultant de la dictature oligarchique et
ploutocratique sur laquelle repose le système improprement
appelé "république"!.
LA "REPUBLIQUE", CE N'EST PAS CELA DU TOUT!.
TOUT PART D'UN FUNESTE ET TRAGIQUE MALENTENDU CONSOMME EN 1875 LORSQUE
LE PEUPLE A ENVOYE UNE MAJORITE DE DEPUTES "REPUBLICAINS", CROYANT
GAGNER AU CHANGE FACE AUX DEPUTES ROYALISTES QUI NE PARVENAIENT PAS A
S'ENTENDRE AVEC HENRI VI ET QUI ONT DONC VOTE POUR UN "PRESIDENT" AVEC
UN MANDAT DE 7 ANS, PARCE QU'ILS DONNAIENT 7 ANS A VIVRE A HENRI V, ET
COMPTAIENT PROCLAMER PHILIPPE VII ROI DE FRANCE!.
OR HENRI V EST MORT EN 1883, MAIS LES DEPUTES ELUS EN 1875 N'ETAIENT
PLUS ROYALISTES ET ILS ONT DONC VOTE LA "3ème REPUBLIQUE", QUI
N'A RIEN DE POPULAIRE, ETANT NEE D'UNE INITIATIVE OLIGARCHIQUE ET
MACONNIQUE!.
Mais pourquoi les Français de 1875, Monarchistes et Catholiques
à 80%, ont-ils donc envoyé des députés
"républicains" à l'Assemblée nationale? La
réponse est que les Prussiens occupaient la France et donc les
élections se déroulaient dans des conditions anormales,
sans compter qu'en réalité, ces élections
étaient organisées par le "gouvernement" de Thiers, issu
d'un coup d'Etat, il est vrai commis contre un imposteur, mais en tous
les cas, illégal et illégitime en droit public
Français.
Il faut aussi compter avec la lassitude des électeurs et
peut-être avec l'effet de sape de la propagande
maçonnique, comme c'est le cas de manière plus visible
aujourd'hui, lorsqu'on constate qu'un gredin aussi crapuleux
qu'incompétent et criminel tel que Sarkozy a été
élu en 2007, grâce à la mise en scène
audiovisuelle orchestrée par les sous-fifres maçonniques
de l'Etat, implantés par les partis maçonniques de
"droite" et "gauche", faux opposants mais vrais larrons
secrètement coalisés sous la botte de Rotschild.
Cependant, la subtilité de l'escroquerie maçonnique sur
l'opinion publique majoritairement Monarchiste tient à 2
facteurs importants:
1) le Peuple Français n'a jamais donné aucun mandat
d'écrire la moindre Constitution aux députés de
1875, républicains ou non!
LE PEUPLE ETAIT CONVOQUE ET PENSAIT VOTER POUR UNE ASSEMBLEE
LEGISLATIVE EN 1875, ET EN AUCUN CAS POUR UNE ASSEMBLEE CONSTITUANTE!
DE CE SEUL FAIT, LES "LOIS CONSTITUTIONNELLES" DE 1875 QUI FONDENT LA
PRETENDUE "3ème république" SONT SANS VALEUR ET
CONSTITUENT UN ABUS DE POUVOIR LEGISLATIF!.
2) en outre, la propagande "républicaine" était trompeuse
et a induit le Peuple à ne pas se révolter.
En effet, l'intelligentsia maçonnique utilisait trompeusement le
mot "république", comme elle continue à le faire
abusivement aujourd'hui encore, qui veut dire "chose publique", ( res
publica), qui est un concept de droit public monarchiste et romain,
pour faire croire aux ouvriers, aux agriculteurs et aux
classes populaires qu'elle enlèverait le pouvoir aux bourgeois
et aux nantis pour leur apporter le soulagement de leurs misères
et l'éradication de leur pauvreté, alors qu'elle ne
faisait que se servir d'eux et de leurs voix pour s'emparer du pouvoir
et le remettre aux bourgeois, et surtout aux banquiers et aux
financiers de la famille Rotschild qui étaient leurs pourvoyeurs
de fonds, et qui les tenaient solidement en laisse par le biais de
leurs sociétés secrètes de la
Franc-Maçonnerie.
L'hypocrisie Maçonnique est donc reconnaissable là encore
à ses procédés Orwelliens lorsqu'elle travestit le
sens des mots pour arriver à ses fins, et dont les politicards
actuels de l'UMP-PS ont fait leur célèbre "langue de
bois", bien connue des gogos-électeurs contemporains.
Ainsi, lorsque la Franc-Maçonnerie travaille sourdement,
activement et avec force moyens financiers déversés par
les banquiers Rotschild à l'asservissement de la
société Française au profit des banquiers, elle ne
prêche pas pour l'oligarchie financière, pour laquelle
elle roule, mais pour la libération des masses
prolétaires du joug de l'oligarchie financière!.
Aussi les locutions latines "res publica", désignant
l'intérêt général sémantiquement,
masquent le dessein réel, ancré dans les faits et
les actes des agents politiques de la Maçonnerie, d'instaurer la
"res privata", désignant l'intérêt exclusif des
banquiers de la maison Rotschild, qui sont les véritables
Maîtres des Franc-Maçons!.
Mais pour vendre la salade maçonnique aux prolétaires de
1875 sur la prétendue "république", ( qu'il faudrait donc
rebaptiser "ré-privée" au lieu de "ré-publique",
afin de mieux confondre les mensonges maçonniques de l'UMP et du
PS!), la propagande maçonnique s'est voulue
"républicaine"!
Car après tout, que les ignares et les sots du bon Peuple se
trompent sur le sens des mots latins, ce n'est évidemment pas
là l'affaire des cyniques et crapuleux Traitres Maçons!.
Et voilà les vraies raisons qui ont fait que l'Etat
Français est,
à l'insu du Peuple Français,
devenu en 1875 maçonnique, oligarchique, judaique et bancaire,
en un mot "républicain", par abus de langage, ou RIPOUX-BLICAIN
par restitution à cette effroyable manigance du terme qui lui
est le plus approprié et qui lui sied si admirablement et
le plus précisément.
La langue de bois du langage maçonnique et ripoux-blicain est,
bien entendu, toujours en vigueur, et de nombreux exemples en jalonnent
le langage législatif et administratif de la
Franc-Maçonnerie Ripoux-blicaine actuelle!.
Des exemples? En veux-tu? En voilà!.
Ainsi, pour ne prendre qu'un seul exemplie, la loi du 29/7/1881 sur la
CENSURE DE LA PRESSE ET LA DICTATURE
INTELLECTUELLE JUDAIQUE ET MACONNIQUE, ( voir par exemple ses CRAPULEUX
articles 24 et 24 bis qui envoient en taule quiconque critique le
criminel Juif le plus abject ou la propagande la plus atrocement
mensongère de l'Etat CRIMINEL d'Israel, oeuvre de Rotschild, ou
les articls 48 et suivants qui permettent à des associations
Sionistes, simples coquilles vides domiciliées chez des avocats,
de se faire procureurs à la place du procureur, et condamner
tous propos que les Sionistes veulent censurer, même s'ils ne les
visent pas!),
est officiellement intitulée: "loi pour la liberté de la
presse"!. IL FAUT LE FAIRE!.
Et une telle "loi" maçonnique, entre les mains des juges et
procureurs maçonniques de la 17ème chambre du TGI Paris
ou de l'ancienne 11ème chambre, devenue chambre 2 pole 7, de la
cour d'appel de Paris, avec le concours des mafieux Sionistes et
maçonniques qui infestent la chambre criminelle de la cour de
cassation, autrefois présidée par l'odieux criminel et
faussaire Cotte Bruno, remplacé aujourd'hui par son ersatz
Louvel Bertrand, ne sert qu'à relaxer les juifs et leurs
sous-fifres sionistes qui insultent les non-juifs, ( voir les
procès perdus par les catholiques de l'Agrif ou les musulmans
face aux connards Sionistes de Chalie Hebdo, dont le
pseudo-intellectuel crétin,
infame et insignifiant Philippe Val, valet Sioniste de Sarkozy promu
pdg de
radio France, bénéficiaires de la corruption Sioniste de
l'ex-président, Magendie Jean-Claude, et de l'ex-juge d'appel
crapuleuse, criminelle et faussaire,Trebucq Laurence!), et à
condamner de simples historiens qui
écrivent, preuves à l'appui, que la propagande
Israélienne sur la choananas, selon le bon mot de l'humoriste
Dieudonné M'Bala M'bala, relayée sur nos TV et radios
publiques par les journalistes Juifs et Sionistes, est absurdement
mensongère!.
Mais il serait fastidieux d'illustrer la langue de bois des juristes
maçonniques de la Ripoux-blique Fasciste, Sioniste et Mafieuse,
( ces expressions sont redondantes et pléonasmatiques, mais leur
répétition est délibérée car elle
cherche à provoquer le salutaire électrochoc dans
l'inconscient du lecteur!), de Rotschild qui nous gouverne
aujourd'hui, d'une main de fer dans un gant de chiasse!.
FRANCAIS,
MEDITEZ SOIGNEUSEMENT CES 3 LETTRES DU GLORIEUX SOUVERAIN HENRI V, DE
JURE ROI DE FRANCE, QUE HCCDA PUBLIE JUDICIEUSEMENT AFIN DE VOUS
RAPPELER VOS VRAIES VALEURS, ISSUES DE VOTRE HISTOIRE MONARCHISTE ET DE
VOTRE CIVILISATION CHRETIENNE!.
SI VOS ANCETRES AVAIENT ECOUTE CES APPELS, VOUS NE VIVRIEZ PAS AUJOURD'HUI
DANS
LA
DICTATURE MAFIEUSE DES BANQUIERS ROTSCHILD, ET SOUS LE CRIMINEL JUIF
SARKOZY!.
MAIS SI VOUS VOULEZ VOUS DEBARASSER DU JOUG DE L'EFFROYABLE DICTATURE
BUREAUCRATIQUE DE LA RIPOUX-BLIQUE ET DE SES ORDURES MACONNIQUES
MANIPULEES PAR LES CRIMINELS DE LA BANQUE ROTSCHILD, ALORS VOUS DEVEZ
SUIVRE LES APPELS DU ROI HENRI V, QUI SONT TOUJOURS D'ACTUALITE ET QUI
VOUS INDIQUENT ENCORE ET TOUJOURS LA SEULE ISSUE POUR VOTRE SALUT ET
CELUI DE VOS DESCENDANTS, LA VOIE DE L'ORDRE ET DE LA LIBERTE, CELLE DE
LA
MONARCHIE HISTORIQUE, L'HERITAGE DES ROIS CAPETIENS QUI ONT FONDE LA
FRANCE PAR LEUR OEUVRE INLASSABLE ET MAGNIFIQUE!.
IL EN EST ENCORE TEMPS! MIEUX VAUT TARD QUE JAMAIS!.
VIVE LA FRANCE!
VIVE LE ROI! A CE JOUR, HENRI VII.
Joel Bouard, le 31/10/11.
|
HCCDA!